Les informations clés
129 700 m² surface GLA
190 boutiques
7,6 M de visiteurs annuels
3,8 mètres de hauteur de vitrine
Unibail-Rodamco-Westfield
Parly 2, le retour des Sixties Chic
Premier centre commercial français ouvert en 1969, inspiré de l’American Way of Life des sixties, Parly 2 renoue avec l’exigence de son élégance, la noblesse de ses matériaux, sa qualité de sa lumière, de ses volumes et de son graphisme.
Réinventer Parly 2, c'est presque rénover un site classé
Dans la lignée des belles architectures emblématiques des Trente Glorieuses, comme Orly Ouest, le Maison de la Radio ou le Hilton Suffren, Parly 2 a apporté sa part d’utopie. En résonance avec le nouvel art de vivre dedans-dehors, le centre emporte à la campagne le meilleur de Paris, dans ses commerces, ses services, son architecture et son design. Après neuf ans de travaux réalisés par phases successives, la relecture architecturale et l’évolution de l’identité visuelle, signés Saguez & Partners, inscrivent à nouveau Parly 2 dans le meilleur d’aujourd’hui, en mariant matériaux nobles, artisanat d’art, designers iconiques aux nouvelles technologies.
Les volumes retrouvent leur hauteur. Les espaces repos sont meublés par les plus grands noms du design : Ray & Charles Eames, Eero Saarinen, Arne Jacobsen, Jean Prouvé, Jaime Hayon, Louis Poulsen. Le plafond fait place à une grande nef, dont la trame dorée à la feuille de cuivre est inspirée des formes géométriques « voile tendue » des Sixties Chic, créant un jeu graphique, clin d’œil aux mailles métalliques de Paco Rabanne. Les artistes plasticiens Mathias et Matteo Messervy, en collaboration avec l’agence ont traité la lumière comme un nouveau matériau qui dialogue avec les volumes et la lumière naturelle.
Marque chic et choc qui claque
Pour une cohérence parfaite entre l’architecture et l’identité visuelle de Parly 2, Saguez & Partners a dessiné une typographie originale, inspirée du graphisme pop et gourmand des Sixties. Toute en rondeur et en coquetterie, avec ses pleins et ses déliés, sa lettre P s’enroule et son Y s’étire. Le semis de l’initiale réinterprète les jeux graphiques de l’art cinétique. Couleur or, évidemment !