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« Penser & faire le design ! »

La Figaro : une heure dans le bureau d’Alexandre Ricard

Chaque lundi, un dirigeant ouvre sa porte à Quentin Périnel, journaliste au « Figaro ».

 

Au fil des sept étages du nouveau siège de Pernod Ricard, inauguré pendant la pandémie, des collaborateurs se croisent dans l’ascenseur, échangent des sourires, des poignées de main, se souhaitent une bonne journée. On se croirait presque en 2019. Le retour au bureau aurait-il eu lieu? «Chez nous, cela n’a jamais été un sujet, à part peut-être le vendredi, sourit Alexandre Ricard. Nous avons plutôt eu le problème inverse. Pendant la crise sanitaire et le confinement, nos collaborateurs étaient trop nombreux à vouloir venir au bureau.»

Près de la gare Saint-Lazare, à Paris, ce siège de 18.000 m2 aménagé par Saguez & Partners a été distingué par plusieurs prix d’architecture. Toutes les entités et tous les métiers du groupe y sont réunis. Dans les open spaces, les 1000 collaborateurs sont en flex office et sont simplement regroupés par pôles. Dans les couloirs, on parle beaucoup anglais : 41 nationalités sont représentées au sein des effectifs. Les étages se succèdent et l’on imagine que le bureau d’Alexandre Ricard est au sommet, au 7ème étage, spacieux, avec vue imprenable sur Paris. Surprise : on s’arrête au sixième où le PDG du groupe est logé à la même enseigne que ses équipes, en flex office.

« Comme son grand-père, il n’a jamais eu de bureau de sa vie ! Alexandre Ricard fait du « flex » depuis toujours, a l’instar des 1000 collaborateurs Pernod Ricard qui se croisent chaque jour dans le siège flambant neuf de Saint-Lazare. Personne n’a de bureau… mais tout le monde a un casier. Et chaque salle de réunion a une vue soit sur la Tour Eiffel, soit sur le Sacré Cœur. » Quentin Périnel.

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Journaliste : Quentin Périnel.
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